Ce week-end, le Colloque International des Grands Hommes fut le théâtre d’échanges particulièrement amers entre Albert Einstein et Leonardo de Vinci. Le père de la relativité générale, décédé en 1955 à Princeton dans le New Jersey, aurait ouvert les hostilités en lançant à de Vinci: “Tiens, l’artiste, on t’a invité?”. Le célèbre scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, peintre, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, poète, philosophe et écrivain florentin aurait répondu sans attendre: “Albert! Justement je te cherchais. Félicitations pour la bombe atomique! Cent vingt mille morts d’un coup, c’est fort! C’est quand même marrant pour quelqu’un qui est contre le service militaire, non?” Il s’en est suivi un long débat échauffé entre les deux hommes.
Les versions, cependant, divergent. Selon certains, ce serait l’Italien qui aurait d’abord provoqué l’Allemand. “Ça ne m’étonnerait pas”, a déclaré Zinedine Zidane. “Pour ma part, tout ce que je sais, intervint Socrate, c’est que je ne sais rien de cette histoire”, dit-il en terminant son verre.
Quelle que soit l’origine du conflit, il dut être assez important pour que les deux hommes en viennent aux mains. “Peace, Love“, s’écriait Jésus alors qu’Einstein promenait de Vinci par la barbe, “mais personne ne l’écoutait”, rapporte Friedrich Nietzsche. “Encore un qui mort la poussière”, aurait commenté Freddie Mercury alors que l’auteur de La Joconde plongeait la tête du physicien dans la sangria.
Finalement séparés par Marcel Cerdan, les deux génies ne se sont plus adressés la parole, jusqu’à ce qu’à la fin de la réception Leonardo de Vinci lance un fatal avertissement à Albert Einstein: “dès que je rentre chez moi je te dé-friend sur Facebook. Et je pèse mes mots.” Le Nobel de physique se serait contenté de lui tirer la langue.
Les versions, cependant, divergent. Selon certains, ce serait l’Italien qui aurait d’abord provoqué l’Allemand. “Ça ne m’étonnerait pas”, a déclaré Zinedine Zidane. “Pour ma part, tout ce que je sais, intervint Socrate, c’est que je ne sais rien de cette histoire”, dit-il en terminant son verre.
Quelle que soit l’origine du conflit, il dut être assez important pour que les deux hommes en viennent aux mains. “Peace, Love“, s’écriait Jésus alors qu’Einstein promenait de Vinci par la barbe, “mais personne ne l’écoutait”, rapporte Friedrich Nietzsche. “Encore un qui mort la poussière”, aurait commenté Freddie Mercury alors que l’auteur de La Joconde plongeait la tête du physicien dans la sangria.
Finalement séparés par Marcel Cerdan, les deux génies ne se sont plus adressés la parole, jusqu’à ce qu’à la fin de la réception Leonardo de Vinci lance un fatal avertissement à Albert Einstein: “dès que je rentre chez moi je te dé-friend sur Facebook. Et je pèse mes mots.” Le Nobel de physique se serait contenté de lui tirer la langue.
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